mardi 31 juillet 2012

aimer la demoiselle...

J'ai une nouvelle obsession, la Minute d' Aime comme Marie. J'en ai cousu tellement que je n'ose plus les montrer. Il était temps de faire quelques choses.
J'ai donc passé commande du patron, M comme Mademoiselle.
Avant de le recevoir je fais un tour au magasin de tissus pour assortir une petite Minute à une jupette que je venais de coudre... les voici

 top Minute, jupette maison


 J'étais donc entrain de chercher un tissus pour ma nouvelle Minute, quand je tombe sur ce voile à petits flots si mignon. Je me dis que lorsque le patron serait là, je pourrais commencer à coudre de suite.
A peine rentré à la maison, ma boîte à lettres m'offrais cette surprise, le M comme Mademoiselle m'attendait.

Et le voilà




 Aucune difficulté, les explications sont limpides, les seules soucis que j'ai eu sont dus à mon tissus qui glisse et dont je n'ai pas l'habitude.





Cette tunique demande cela dit bien plus de concentration que la Minute, mais je vais tâcher de m'en coudre encore une ou 2...

mardi 24 juillet 2012

Profiter de la sieste...

Dur dur, en général à peine le temps de s'installer pour profiter de ce moment d'accalmie dans la folle journée d'une maman à temps plein et la biche est déjà réveillée... c'est le moment idéal pour tester un des nouveaux patrons qui stimulent la blogosphère, ceux de Aime comme Marie.
Avant de commander un des patrons papiers j'ai voulu tester le modèle téléchargeable M comme Minute.
Le slogan de ment pas, le plus long est de choisir les tissus. J'ai déniché les miens dans une mignonne boutique de mon village alsacien.





Résilles rouge et Jersey, bords zigzagué ...

Que demander de plus? Oh 2 ou 3 minutes pour faire encore gonfler ma garde robe

Edit !

Je deviens quelques peu addict aux MINUTES de M comme MARIE, alors plutôt que de multiplier les posts, je vais mettre dans ce message mes nouvelles minutes ;)

le 26/07




mardi 3 juillet 2012

Quand la petite Florine va à l'école...

Déjà?! Laissez moi vous expliquer...

Alors que nous venions de déménager dans une nouvelle ville, nous étions si désolé d'avoir arracher Florine à sa crèche, que nous cherchions une nouvelle structure pour quelques heures de collectivité par semaine. Peur de devoir recommencer les souffrances d'une séparation, comme se fut le cas pour ses 9 mois, nous allions de refus en refus. Pas de place, pas du bon village, pas prioritaires.

J'allais baisser les bras, quand au détour d'un forum, je découvre qu'il existe a quelques kilomètres de chez nous, un jardin d'enfants dispensant une pédagogie Montessori. Je ne fus pas de suite emballée... Montessori, ça m'inquiète un peu. Moi qui ai plutôt approcher des ambiances où on laisse libre le rythme de l'enfant, je vois ça comme un apprentissage intensif, l'impression qu'on va faire de mon enfant un petit singe savant.
En approfondissant, je découvre que cette école est plus alternative. Grâce à différents intervenants, elle mélange également des activités Steiner.
Je trouve cela étrange. Pour l'avoir approché, je sais que Steiner à plutôt tendance à freiner les apprentissages pour qu'ils se fassent au moment où le corps est prêt. Je sais par exemple qu'on ne montre pas de livre à l'enfant avant 7 ans, alors que chez Montessori on approche les lettres rugueuses dès le jardin d'enfant.

Nous décidons alors d'aller rencontrer les professionnels de cette école. Et le courant passe immédiatement. Du calme, de la douceur, de l'écoute, du dialogue... 12 enfants pour une éducatrice et 2 auxiliaires. De la logique surtout, on n'applique pas à la lettre, on fait évoluer "la doctrine" pour l'adapter à l'enfant d'aujourd'hui. On n'empêche pas l'enfant "de lire" un histoire ou de la suivre sur un livre, mais on comprend qu'à 6 ans et demi, il ne soit pas prêt pour écrire.
On laisse les enfants apprendre à jouer ensemble, à trouver sa place, avant de l'obliger à un l'exercice pour lequel il n'est pas prêt.


Alors nous avons inscrite la petite Florine en avril, et on la voit si heureuse, si fier de ramener son pain du mardi, si deçue de ne pas rester manger avec ses copains, si curieuse de toute les choses de la nature, que oui elle y reste. Et je n'ai pas fini de vous en raconter.